Réchauffement climatique
Le réchauffement climatique sur notre planète est devenu un fait que nous pouvons tous observer, mais ses causes semblent plus difficiles à définir objectivement. Les avis divergent, et ce ne sont pas forcément ceux qui sont diffusés par les médias officiels et soi-disant prouvés par les scientifiques qui sont justes. Les théories scientifiques ont toujours été considérées comme justes jusqu’au jour où on découvre qu’elles sont fausses. Beaucoup de gens pensent que le réchauffement climatique est dû à la pollution atmosphérique, notamment à l’augmentation de la proportion de CO2 dans l’air et que c’est l’homme qui en est responsable. Une croyance qui satisfait l’orgueil démesuré de l’être humain quand il s’imagine que son pouvoir peut changer le cours de l’univers. D’autres théories affirment que la cause du réchauffement climatique provient du soleil, et que des réchauffements similaires se sont déjà produits régulièrement dans l’histoire de la Terre. Ce n’est pas moi qui vais trancher ce débat. Il y a probablement du vrai dans les deux théories.
Je lisais récemment l’article d’un savant allemand qui observait que la proportion de CO2 dans l’air était très faible (environ 0,035 %) et qu’elle était donc insignifiante. Le problème est que cette faible proportion a augmenté de 30 % depuis le début du 20ème siècle. Toutefois, elle est loin d’être dangereuse pour notre santé, elle le serait si elle dépassait 3 % : nous en sommes encore très loin. Est-ce que ces petites variations affectent l’équilibre chimique de l’écosystème de la Terre et sont vraiment la cause du réchauffement climatique ? De même que certains minéraux et certaines vitamines, qui sont en proportion encore beaucoup plus faible dans notre corps, peuvent sérieusement affecter notre santé s’ils sont en manque ou en excès de 30 % ! La Terre est un grand être vivant, et sa bonne santé dépend de conditions très précises. Toutefois elle a aussi un grand pouvoir d’adaptation.
Cet article précisait aussi que la nature produit elle-même 96 % du CO2 et les êtres humains seulement 4 %, et que réduire nos émissions de CO2 ne ferait pas une grande différence. Ce qui m’a interpelé dans cette affirmation, c’est qu’elle signifierait que les êtres humains ne font pas partie de la nature, et qu’étant extérieurs à elle, ils auraient le pouvoir de la contrôler et de la manipuler. Au contraire, je pense que la nature contrôle tout, d’une manière ou d’une autre, et même le comportement stupide des êtres humains. En ce moment, elle fait peut-être des expériences pour voir jusqu’où les êtres humains pourront aller dans leur propre autodestruction avant de devenir plus sages ! C’est intéressant de l’observer. Et même si la planète se réchauffe, nous ne sommes pas dans une situation désespérée… pas encore !
En général, nous ne soignons pas notre corps tant que nous n’avons pas des douleurs ou des troubles physiologiques graves. De la même manière, les conditions de vie sur cette planète ne sont pas suffisamment dramatiques et douloureuses, jusqu’à présent, pour nous obliger à prendre des mesures énergiques pour faire quelque chose à leur sujet ; et le peu que nous faisons déjà n’est peut-être pas inutile. La première étape est déjà de prendre conscience des effets de nos actions, car elles ont certainement un effet, même s’il est minime à l’échelle de l’univers, ou même de la Terre, et elles affectent le tout ! Comme nous appartenons au tout, et sommes le tout, il est sage de nous préoccuper de savoir si l’air que nous respirons, et qui nous maintient en vie, contient bien la bonne quantité de CO2, car même si elle est petite, elle n’est certainement pas insignifiante. Même si cela ne nous dit ni quelles sont les causes de cette augmentation ni si celle-ci est liée au réchauffement climatique.
Mais bien sûr, si le responsable de ces variations est le soleil, les mesures que nous envisageons de prendre à notre petite échelle auront bien peu d’effet.
Il est certainement préférable de faire confiance au Plan divin. L’émerveillement devant les merveilles de la nature et la gratitude d’être vivant sont des émotions qui seront beaucoup plus favorable à notre santé et notre survie que la peur provoquées par les théories des catastrophistes.
28 octobre 2019, Chiang Mai