La violence
La violence est souvent comprise comme la violence physique. Et la non-violence comme un refus d’utiliser la violence physique.
Les extrémistes de la non-violence estiment qu’il ne faut jamais utiliser la violence physique, même en cas de légitime défense, mais qu’il faut se laisser dominer ou même massacrer sans réagir et sans se défendre. Je ne suis pas de cet avis.
Je pense que là où la violence est déplacée, c’est lorsqu’elle sert à attaquer. Et s’il n’y avait plus d’attaque, il n’y aurait plus besoin de défense. L’attaque est généralement motivée par l’avidité, l’avidité de conquérir, d’envahir, de s’approprier ; et la défense par le besoin de protéger son territoire ou ses biens matériels.
Bien sûr, il y a alors des attaques fictives, comme celles de certains soi-disant attentats terroristes, qui ont servi à justifier des campagnes militaires ou des mesures politiques. Dans un monde où les règles dominantes sont le complot et la manipulation, qui sont deux formes sophistiquées de violence, quel effet peuvent avoir des réactions, qu’elles soient violentes ou non violentes ?
Dans nos sociétés occidentales modernes, la violence physique, dans les milieux familial, professionnel et scolaire, est jugée inappropriée, et elle est même condamnable. Les châtiments corporels ne sont plus à la mode. C’est une façon, dans nos sociétés décadentes, de se donner bonne conscience. Ce changement n’est pas très ancien, et n’a pas encore eu lieu dans certaines cultures considérées comme moins civilisées, où la violence physique est encore utilisée pour punir ou pour affirmer et faire respecter son pouvoir.
Si les sociétés modernes condamnent la violence physique domestique, elles la tolèrent sans difficulté lorsqu’elle est utilisée par la police ou l’armée, pour des motifs politiques souvent discutables. Comme dans beaucoup d’autres domaines, il y a souvent deux poids et deux mesures.
La plupart des gens s’accordent pour dire que la violence physique devrait être évitée autant que possible dans la plupart des situations, et c’est une attitude tout à fait justifiée. Mais la violence physique est loin d’être la seule forme de violence, et ce n’est certainement pas la plus nuisible et la plus dangereuse, et celle qui fait le plus de dégâts à long terme. Mais les autres formes de violence sont moins visibles et moins spectaculaires.
Aux niveaux domestique, professionnel et scolaire, la violence verbale a des effets beaucoup plus pernicieux que la violence physique, car elle blesse le psychisme au lieu de blesser le corps. Les plupart des blessures physiques se soignent beaucoup plus facilement et rapidement que les blessures psychologiques, et même si elles laissent parfois des séquelles physiologiques, celles-ci sont moins graves que les blessures psychologiques. Bien sûr, certaines personnes se créent leurs propres blessures psychologiques en considérant qu’elles n’auraient pas dû être violentées physiquement.
La violence physique, si elle n’est pas la plus dangereuse, est celle qui fait le plus peur, et elle sera toujours présente comme épouvantail.
Les autres violences qui affectent le corps physique sont les pollutions, les violences chimiques et électromagnétiques, et les pratiques médicales.
Les violences (ou pollutions) chimiques
La pollution de l’air que nous respirons.
La pollution de l’eau, que nous buvons, que nous utilisons pour nous laver, ou dans laquelle nous nous baignons (piscines, lacs, mers).
La pollution de l’alimentation et des boissons, par les pesticides et autres produits chimiques utilisés dans l’agriculture ; par les conservateurs, les colorants et autres produits chimiques utilisés sur les produits frais (fruits, légumes, produits laitiers, viandes) ; par les produits chimiques utilisés dans la nourriture et les soins vétérinaires des animaux d’élevage ; par les adjuvants et les conservateurs utilisés dans la plupart des aliments industriels ou artisanaux.
La présence de produits chimiques dangereux dans la plupart des produits que nous utilisons : produits d’entretien et de nettoyages ; produits de toilette et cosmétiques ; colles, peintures et produits utilisés pour la construction et le bricolage, etc.
La présence de produits chimiques dangereux dans la plupart des objets usuels que nous utilisons quotidiennement : habits, tissus, jouets, objets en bois et en papier, objets en plastique, meubles, matériaux de construction et de décoration, appareils électriques et électroniques, matériaux utilisés dans la fabrication des voitures et autres moyens de transport, etc.
Les effets pervers des chemtrails (nanoparticules chimiques pulvérisées par des avions), du projet HAARP (étude de l'ionosphère au moyen d’ondes radio à hautes fréquences) et de la géo-ingénierie (modification délibérée du climat), sont considérés pour l’instant comme des théories complotistes sans preuves fiables.
Les violences (ou pollutions) électromagnétiques
Les ondes produites par les réseaux électriques dans les habitations et tous les autres bâtiments ; les ondes produites par les appareils électroménagers ; les ondes produites par les réseaux à haute tension, les centrales électriques, les transformateurs, les éclairages publiques, les lignes des transports publiques électriques, les installations et équipements électriques industriels.
Les ondes produites par les radars ; les émetteurs d’ondes de radio et de télévision ; les émetteurs d’ondes pour l’internet et les téléphones portables, depuis les satellites et les antennes, jusqu’aux box et autres émetteurs wifi dans les bâtiments, et aux appareils électroniques eux-mêmes (ordinateurs et téléphones) ; les ondes émises par les télécommandes, par tous les appareils sans fils, et par les écrans (télévisions, ordinateurs, téléphones).
Les ondes émises par les systèmes de chauffage électriques et par les installations de climatisation.
Les ondes électromagnétiques dans les cages métalliques comme les voitures, les trains, les avions, mais aussi dans les constructions en métal et en béton armé.
Les émissions de champs électromagnétiques qui ont une action météorologique.
Les violences médicales
Les pratiques médicales, surtout allopathiques : médicaments chimiques, pratiques chirurgicales, tests et examens médicaux, produits sanitaires et de préventions (pansements, désinfectants, masques, etc.), vaccins, radiographie, radiations, techniques de réanimation et de maintien en vie, euthanasie, etc.
Autres violences
Les pollutions génétiques : OGM, certains vaccins.
Les armes : chimiques, électromagnétiques et biologiques.
La peine capitale, la torture, l’incarcération, le confinement.
Violences qui affectent le sens de l’ouïe
Les bruits violents
Certaines musiques
Certaines vibrations
Bruits de fond peu audibles mais permanents
Bruits de certaines machines
Les cris
Les sirènes
Les explosions
Les coups de feu
L’audiovisuel
Violences qui affectent le sens de la vue
Écrans d’appareils électroniques
Certaines lumières artificielles
Films, télévision et vidéos
Images de violence, de guerre
La laideur de l’environnement
L’audiovisuel
Violences qui affectent le sens de l’odorat
Pollutions
Gaz
Armes chimiques
Odeurs nauséabondes
Parfums subtils qui peuvent créer des addictions
Gaz ou vapeurs qui peuvent créer des troubles psychiques
Violences qui affectent le sens du goût
Goûts artificiels qui créent des addictions à certains aliments
Violences psychiques au niveau individuel
Violences verbales
Menaces
Chantage
Trahison
Mensonge
Abus de pouvoir
Culpabilisation
Violences psychiques au niveau collectif
Manipulation
Mensonge
Manipulation de l’information
Abus de pouvoir
Violations de la constitution
Propagande
Publicité
Atteintes aux libertés fondamentales
Atteintes aux droits fondamentaux
Présence policière excessive
Harcèlement administratif
Harcèlement judiciaire
Harcèlement financier
Surveillance
Censure
Menaces
Création d’un climat de peur
26 février 2021, Chiang Mai